Quelques dates clés
2003 – Baccalauréat en Sciences Économiques et Sociales (SES) à Lycée Saint-Exupéry (France)
2007 – Licence en Langues Étrangères Appliquées (LEA) à Université de Cergy-Pontoise (France)
2009 – Certificat Formation Sécurité (CFS) à Institut aéronautique de Paris (France)
2010 – Traducteur à Institut Québécois de développement de l’horticulture ornementale (Canada)
2012-16 – Conseiller, Relations à la clientèle à Rogers Communications (Canada)
2016-19 – Spécialiste en communications, linguistique, et traduction à Rogers Communications (Canada)
2021 – Certificate in Digital Marketing – Web Applications à Université Concordia (Canada)
En Détail
Les études
Après l’obtention de mon Baccalauréat en Sciences économiques et sociales au lycée, j’ai poursuivi mes études à l’université jusqu’à la Licence en Langues étrangères appliquées spécialisée en communication et en traduction (en français, anglais et allemand).
Bien que les études m’intéressaient, j’ai rapidement souhaité passer de la théorie à la pratique en m’insérant dans le monde professionnel afin d’acquérir mon autonomie financière. Je ne savais toutefois pas vraiment quel domaine professionnel me conviendrait le plus.
L’expérience australienne : Rituel de passage à l’âge adulte
À la suite de mes études universitaires, j’ai décidé de partir à l’aventure à l’autre bout du monde pour cultiver mon indépendance, découvrir de nouveaux horizons et en apprendre plus sur moi-même.
J’ai donc pris la décision de partir, seul, vivre en Australie pendant près de 2 ans, avec moins de 1 200 euros en poche, un CV quasi vierge et un anglais assez approximatif à l’époque.
Un défi de taille pour certains qui fut, pour moi, une formidable expérience, car elle m’a permis de découvrir ce magnifique pays tout en m’enseignant des qualités essentielles au monde professionnel auquel je me préparais. Que ce soit la maîtrise de l’anglais, la capacité d’établir un réseau, l’autonomie, ou encore la gestion du stress face à la pression.
En effet, une fois arrivé là-bas, j’étais dos au mur. Bien que l’envie de découvrir les magnifiques plages et la nature me démangeait, il me fallait trouver un emploi très rapidement, et j’ai dû pour cela aller à la rencontre de personnes ressources afin qu’elles puissent m’aguiller adéquatement.
Au cours de ces deux années, j’ai successivement travaillé dans des fermes, puis dans des stations-services en plein Outback australien. Les payes étaient plutôt bonnes en raison du manque de main-d’œuvre dans ces régions reculées. Avec l’argent gagné, j’en ai profité pour faire le tour de ce vaste et magnifique continent.
Cette expérience fut, au final, une grande réussite, car elle m’a permis de gagner en maturité, de découvrir un pays magnifique qui restera à jamais gravé dans ma mémoire, et de rencontrer des gens formidables provenant des quatre coins du monde.
L’expérience canadienne : Un départ complexe
Au début de l’année 2010, j’ai décidé de tenter l’expérience canadienne. Un pays que je ne connaissais que très peu, mais dont j’avais entendu beaucoup de belles choses.
Dès les premiers jours, j’avais toutefois éprouvé un sentiment de déjà vu, car j’avais décidé de m’y installer seul avec très peu d’argent en poche. La pression au début de cette expérience était donc palpable, mais toutefois moindre, étant donné que j’avais réussi ce défi d’intégration en terre inconnue quelques années plus tôt. Le climat était, en revanche, complètement nouveau et plutôt effrayant.
Ma première expérience pertinente de travail à Montréal fut une mission de traduction de quelques centaines de pages de l’allemand vers le français pour l’Institut Québécois de Développement de l’Horticulture Ornementale (IQDHO).
Bien que complexe étant donné qu’il portait sur un thème très éloigné de mon domaine d’expertise, j’ai malgré tout accepté de relever ce défi. Ce projet fut extrêmement enrichissant, car il m’a effectivement permis d’en apprendre énormément sur ce sujet tout en solidifiant mon sens de l’autonomie et de la rigueur en travaillant seul de la maison, et sans aucun soutien.
À la fin de ce contrat, j’ai fait quelques petits boulots en tentant de trouver quel serait mon prochain défi professionnel. La situation était toutefois précaire, car j’étais conscient que mon visa de travail temporaire arriverait prochainement à échéance et que je serais à un moment obligé de quitter ce pays que j’avais commencé à réellement apprécier.
L’expérience canadienne : En route vers la maturité professionnelle
En 2012, j’ai intégré Rogers Communications Inc. J’ai commencé à titre de Conseiller, Relations à la clientèle. Ce poste était intéressant dans la mesure où il m’a enseigné certaines qualités essentielles comme la négociation, l’empathie, ou encore la force de persuasion. Ce que j’aimais le plus au sein de ce dernier est qu’il me permettait d’apporter un soutien divers et essentiel (technique, politique tarifaire, etc.) à une clientèle généralement déçue par l’entreprise.
Dès que j’ai commencé à exceller dans ma fonction, et après l’obtention de ma résidence permanente qui me donnait davantage de flexibilité quant au choix de l’emploi, j’ai eu le désir d’apprendre de nouvelles choses et de finalement m’orienter vers ma véritable passion : la communication. J’ai dès lors obtenu un poste de Spécialiste en communications. Ce dernier m’a réellement épanoui sur le plan professionnel.
Voici quelques détails concernant mes principales responsabilités.
Et maintenant?
Aujourd’hui, j’ai enfin trouvé ma voie professionnelle et souhaite poursuivre ma carrière au sein de ce secteur en constante évolution. Je souhaite toutefois relever de nouveaux défis en me consacrant également à la communication visuelle et en ligne.